Vidéos. Le super coup de com de l’ambassadeur du Maroc au Qatar
Invité de l’émission « Sabah Al Arab » sur la chaîne de télévision Al Kass, le 5 décembre dernier, Mohamed Sitri, ambassadeur du Maroc au Qatar, a brillé par sa manière de mettre en valeur la culture marocaine.
Jusque-là peu connu, Mohamed Sitri a brillé de mille feux dimanche dernier. Lors d’une interview sur la chaîne Al Kass à l’occasion de la Coupe arabe des nations, l’ambassadeur du Maroc au Qatar est revenu sur la tradition du thé, le caftan marocain, l’artisanat, les traditions et les éléments de différenciation de la culture marocaine. Le tout avec maestria.
Au sujet du thé à la menthe, symbole à part entière du royaume, l’ambassadeur a fait observer qu’il occupe une place très importante dans la vie et les relations des Marocains. De plus, sa préparation relève d’un rituel spécifique à chaque région du Maroc. Néanmoins, il reste une boisson emblématique qui réunit tous les Marocains, à tout moment et à toute occasion.
A la question de savoir comment a été créée l’université Al Qaraouiyine, la plus ancienne au monde, Sitri a souligné qu’une femme est à l’origine de ce projet. Tandis que d’autres pays beignaient dans l’obscurantisme, des milliers de savants ont été des lauréats de cette université, a-t-il ajouté, faisant par la même occasion l’éloge de la femme marocaine et arabe en général. Le diplomate a notamment félicité les présentatrices, habillées en caftans marocains.
A la fin de l’émission, le diplomate marocain a félicité le Qatar pour l’organisation réussie de la Coupe arabe des nations, tout en souhaitant voir une finale Maroc-Qatar. Et d’expliquer que seul l’esprit sportif compte et que le meilleur gagne.
Pour rappel, Mohamed Sitri est un diplomate de carrière. Avant sa nomination en tant qu’ambassadeur du roi Mohammed VI à Doha, il avait été ambassadeur à Amman (Jordanie). Il avait été auparavant, chef de cabinet de Mbarka Bouaida, ancienne ministre déléguée aux Affaires étrangères et conseiller auprès de l’ex-ministre des Affaires étrangères, Taieb Fassi Fihri.
